Statut : aquarelle sur papier Magnani 1404 Italia – Diamètre 16 cm
(logo personnel)
Cartel :
Au centre d’Okéanos, un battement.
Un souffle d’origine, discret mais tenace.
Le chant intime d’où tout est né.
En le peignant, j’ai compris :
les poissons, les algues, les rivages,
tout ce que j’avais déjà façonné autour de la mer…
C’était là depuis toujours.
Assez fort pour devenir mon logo,
mon avatar,
mon image :
Il fallait que j’en fasse une Cosmogonie.
💗 Légende du Canto du cœur d’Okéanos
On raconte qu’au fond de tout, quelque chose bat.
Un battement discret,
jamais interrompu.
Un rythme enfoui, presque oublié,
et pourtant familier à qui écoute l’eau longtemps.
Il pulse dans l’écume,
dans la lumière verte des profondeurs,
dans l’écho contenu des coquillages ;
ce murmure qu’on prend pour la mer,
mais qui est le battement de notre propre cœur.
C’est ce battement qu’Okéanos écoute
quand il doute de son existence.
À qui sait l’entendre, ce chant révèle
que l’eau a une âme,
et qu’au centre du monde veille une tendresse invisible.
On l’appelle :
Le Canto du cœur d’Okéanos
🤪 Version bolossifiée
T’as pas entendu comme un bruit ?
là ! :
Comme un ghettoblaster à watt
étouffé sous mille matelas de princesse au petit pois ?
C’est le daron des battements,
l’ancêtre des électrocardiogrammes,
le stéthoscope des abysses.
Colle ton oreille à un coquillage et t’as une lecture instantanée.
T’as direct envie de camper là dans ta Quechua 2 sec
tu sais, celle qu’aucun festivalier, ever, n’a jamais repliée.
C’est My Song of You remixée collé-serré,
Un jour sans fin qui loop dans The good place,
la chantilly sur tes loukoums,
C’est le canto du cœur d’Okéanos.
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