





Statut :
zine sur papier à dessin Canson,
décors : crayons aquarellables Derwent, encre de chine.
Cartel :
Un canto qui tourne en spirale,
plonge dans les profondeurs,
puis revient, encore et encore.
Comme un chapelet qu’on égraine à l’infini,
jusqu’à se perdre dans l’abîme.
🕳️ Légende du Canto de la boucle abyssale.
Ainsi parlent les courants des profondeurs.
Loin sous la mer, bien au-delà de la lumière,
il existe une boucle où le temps ne s’écoule pas.
Il revient.
Encore et encore.
C’est ici que se perdent les pensées englouties,
les souvenirs noyés,
les rêves oubliés.
Certains disent que ce canto est un piège.
D’autres, qu’il est un sanctuaire.
Qu’il faut s’y perdre pour revenir, pour comprendre où l’on va.
Ce chant, que la mer se récite,
on l’appelle :
Le Canto de la boucle abyssale.
🌀 Le boloss du canto
Au début tu crois que ça avance.
T’es le king des soirées.
Carré VIP de ta propre vie.
T’explores. T’y es presque.
Et puis…
Tu reviens au point de départ.
Exactement là.
Mais avec moins de certitudes.
Tu dis que t’en sors demain.
Mais demain s’est noyé dans sa propre notif.
C’est un colis mal adressé : retour à l’envoyeur.
C’est Mappy dans la Saxo, qui rame autant que toi pour trouver l’amphi B12.
C’est un escape game sans porte de sortie.
C’est le Canto de la boucle abyssale.
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